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Guide complet de l’inhumation

Tout savoir sur le déroulement, les démarches et le choix de la sépulture

L’inhumation (ou enterrement) reste la forme la plus traditionnelle des obsèques en France.
Elle consiste à déposer le corps du défunt dans une sépulture, qu’il s’agisse d’une tombe individuelle, d’un caveau familial ou d’un emplacement collectif.
Les Pompes Funèbres SSM, Haut-Bugey et Aindinoises vous accompagnent à chaque étape pour organiser une inhumation digne, respectueuse et conforme aux volontés du défunt et de la famille.

Qu’est-ce que l’inhumation ?

L’inhumation est une mise en terre du cercueil après une cérémonie funéraire, religieuse ou civile.
C’est un acte symbolique fort, marqué par le respect, le recueillement et la mémoire.
Ce moment permet à la famille et aux proches de rendre un dernier hommage et d’avoir un lieu de recueillement durable.

Les démarches administratives à effectuer

Avant toute inhumation, certaines formalités légales doivent être accomplies.
Nos conseillers se chargent de les réaliser pour vous, afin de vous soulager des démarches.

1. Déclaration de décès : Le décès doit être déclaré à la mairie du lieu où il est survenu, dans les 24 heures.
Cette étape permet d’obtenir le permis d’inhumer, indispensable à la mise en terre.

2. Demande de concession funéraire : Si la famille ne dispose pas déjà d’une concession, il est possible d’en acquérir une nouvelle auprès de la mairie.
La durée d’une concession varie selon les communes : 15, 30, 50 ans ou perpétuelle.

3. Autorisations et coordination : Les Pompes Funèbres SSM prennent en charge la demande d’autorisation d’inhumer, la coordination avec la mairie, le cimetière et le lieu de cérémonie.

Nous nous occupons de tout, dans le respect des délais légaux et des volontés exprimées.

Le déroulement d’une inhumation

  • La mise en bière : Le défunt est placé dans un cercueil conforme à la réglementation, puis scellé avant la cérémonie.
  • La cérémonie : Elle peut être religieuse (église, temple, mosquée, synagogue…) ou civile/laïque, dans une salle ou au cimetière. Ce moment de recueillement permet à la famille de partager un dernier hommage.
  • Le cortège funéraire : Le cercueil est transporté vers le cimetière dans un véhicule agréé. Les proches peuvent suivre le cortège pour accompagner le défunt jusqu’à sa dernière demeure.
  • La mise en terre : Le cercueil est descendu dans la tombe ou le caveau familial, puis recouvert. Des fleurs ou symboles peuvent être déposés selon les traditions et les croyances.
L’inhumation est souvent vécue comme une étape importante du processus de deuil : elle marque la séparation tout en offrant un lieu de mémoire.

Le choix de la sépulture

Vous pouvez choisir entre plusieurs types de sépultures :

  • Tombe individuelle : pour une personne, dans une concession réservée.
  • Caveau familial : accueille plusieurs cercueils ou urnes dans une même concession.
  • Enfeu ou cavurne : pour les urnes cinéraires.
  • Concession collective : partagée entre plusieurs familles.

Nos conseillers vous guident dans le choix du monument funéraire, de la marbrerie et de la gravure personnalisée.

La cérémonie religieuse et les croyances

Chaque religion possède ses propres rites et pratiques autour de l’inhumation :

  • La religion catholique, musulmane et juive privilégient l’enterrement en terre.
  • Les rites orthodoxes conservent la tradition de l’inhumation.
  • Dans les traditions bouddhistes et hindouistes, la crémation est plus fréquente, mais l’inhumation reste possible selon les souhaits de la famille.
Nous respectons toutes les convictions et adaptons nos services à chaque tradition.

Le coût d’une inhumation

Le tarif dépend :

  • du type de cercueil et du monument,
  • des prestations funéraires choisies (transport, cérémonie, marbrerie),
  • et des frais liés à la concession et aux autorisations communales.

Nous proposons des devis clairs, détaillés et sans engagement, afin d’adapter chaque service à votre budget et à vos attentes.

Après l’inhumation

Nous proposons également :

  • l’entretien régulier du monument funéraire,
  • la pose de fleurs naturelles ou artificielles,
  • la réfection ou gravure de stèle,
  • et des services de marbrerie sur mesure.

Ces prestations permettent de préserver la beauté du lieu de mémoire et d’honorer durablement le souvenir du défunt.

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Conformément à la législation française, l’inhumation doit avoir lieu au minimum 24 heures après le décès et au plus tard dans les 14 jours calendaires qui suivent. Si le décès est survenu à l’étranger ou dans un territoire d’outre-mer, le délai de 14 jours court à partir de l’entrée du corps sur le territoire métropolitain. En cas de circonstances particulières, le préfet du département où se déroule l’inhumation peut accorder une dérogation exceptionnelle.
Oui, cela est possible. Si le décès survient à l’hôpital, le corps du défunt peut être transporté à domicile après accomplissement des formalités administratives nécessaires. Bien que non obligatoires, les soins de présentation et de conservation sont alors fortement recommandés, afin de préserver le corps et de permettre à la famille de se recueillir dans les meilleures conditions.
Partout dans le monde, les soins apportés au défunt témoignent du respect et de l’hommage rendus à la personne disparue. Dans les communautés juives et musulmanes, la toilette rituelle revêt un caractère sacré et obligatoire, et elle est assurée par des autorités religieuses habilitées. Dans les autres traditions, qu’elles soient religieuses ou laïques, ces soins sont généralement réalisés par des professionnels de santé ou des agents funéraires qualifiés. Ils peuvent aller d’une simple toilette mortuaire à des soins de présentation et de conservation, effectués par des thanatopracteurs diplômés, afin de permettre à la famille de se recueillir dans des conditions de dignité et de sérénité.
Oui, cela est possible, mais uniquement avec une autorisation préfectorale délivrée après une étude hydrogéologique du terrain. Si le jardin est situé en zone urbaine ou dans un centre-ville, cette étude conduit généralement à un refus, en raison des risques liés à la proximité des habitations et des réseaux d’eau. En revanche, si le jardin est étendu, isolé ou assimilable à un parc familial, et que la lignée familiale y repose déjà, l’autorisation peut être accordée sous certaines conditions.

En France, tous les cimetières sont des lieux publics placés sous la responsabilité des communes ou des communautés de communes.
Il existe toutefois quelques exceptions, comme les cimetières confessionnels (notamment israélites) ou ceux situés au sein de monastères ou de communautés religieuses, où la tradition d’un espace funéraire privé perdure encore aujourd’hui.

Une concession funéraire correspond au droit d’usage d’une parcelle dans un cimetière, accordé par la commune pour une durée déterminée — de 5 ans minimum jusqu’à la perpétuité, selon le choix des familles. Les titulaires de cette concession peuvent y établir une sépulture : individuelle, collective ou familiale, ainsi que faire construire des caveaux, monuments ou tombeaux.

Il n’est pas obligatoire d’acquérir une concession pour être inhumé dans un cimetière communal.
Cependant, toute personne souhaitant réserver une place durable doit en faire la demande auprès de la mairie concernée.
Le droit d’usage d’une concession peut être accordé pour des durées variables, selon les règlements de chaque commune :

  • Temporaire (jusqu’à 15 ans maximum),
  • Trentenaire (30 ans),Cinquantennaire (50 ans),
  • ou Perpétuelle.

Certaines communes proposent également des concessions de courte durée, souvent de 5 ans, à un tarif plus accessible, notamment pour les inhumations temporaires.

Les concessions à durée déterminée sont réintégrées par la commune lorsqu’elles ne sont pas renouvelées à leur échéance.
Même les concessions perpétuelles peuvent faire l’objet d’une reprise administrative, après une procédure longue et encadrée, visant à constater l’état d’abandon de la sépulture.
Dans tous les cas — qu’il s’agisse d’une concession temporaire ou perpétuelle — les ossements exhumés sont pris en charge par la collectivité :
ils peuvent être réinhumés dans l’ossuaire communal ou incinérés, puis dispersés dans le jardin du souvenir, selon la décision de la mairie.

En France, l’inhumation est possible dans plusieurs cas de figure :

  • dans le cimetière de la commune de résidence du défunt,
  • dans le cimetière de la commune où le décès a eu lieu,
  • ou dans le caveau familial lorsque des droits y sont déjà établis.

Il est également possible d’être inhumé dans un autre cimetière, à condition d’obtenir l’autorisation du maire de la commune concernée.

Enfin, une inhumation sur un terrain privé peut être envisagée de manière exceptionnelle, sous réserve d’obtenir l’autorisation du préfet après étude du dossier et du terrain (notamment hydrogéologique).

Pourquoi choisir les Pompes funèbres SSM, Haut-Bugey et Aindinoises ?

Accompagnement humain et personnalisé

Prise en charge complète des démarches administratives

Choix et création de monuments personnalisés

Disponibilité 24h/24 – 7j/7

Un hommage digne, dans le respect des volontés

L’inhumation, c’est offrir un dernier repos à la hauteur d’une vie.
Nos équipes vous accompagnent à chaque étape, avec bienveillance, rigueur et discrétion.

Besoin d’un accompagnement immédiat ou d’un renseignement ?

Notre équipe est disponible 24h/24 et 7j/7.

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